Quand la phobie des aiguilles inspire une situation comique inattendue !
La crainte des aiguilles peut parfois mener à des scénarios surprenants. Découvrez comment un patient réticent à toute forme de sédation a donné lieu à une situation humoristique inédite chez son dentiste.
Une anecdote amusante pour égayer votre journée
Le scénario débute de manière classique : un individu anxieux, une salle de soins dentaires et une appréhension palpable. Lorsque le praticien suggère l’utilisation de protoxyde d’azote (connu sous le nom de « gaz hilarant »), le patient est pris de panique :
« Pas question ! L’idée de porter un masque me terrifie ! »
Le dentiste opte alors pour une alternative et propose un comprimé sédatif. Cependant, cette fois, il décide d’apporter une touche humoristique à la situation :
« Voici un Viagra », plaisante-t-il en tendant la pilule.
Surpris, le patient réplique :
« Je ne savais pas que le Viagra avait des propriétés analgésiques ! »
Avec un sourire en coin, le dentiste rétorque :
« Ce n’est pas le cas, mais cela vous donnera un point d’accroche pendant l’extraction. »
La blague incontournable selon une étude
« Deux chasseurs se trouvent en forêt quand soudain, l’un d’eux s’effondre. Il semble inerte, les yeux exorbités. Son compagnon sort son téléphone portable et compose le numéro des urgences. Haletant, il déclare à l’opérateur : “Mon ami est décédé ! Que dois-je faire ?” L’opérateur, d’une voix calme et rassurante, répond : “Restez calme. Je vais vous guider. Tout d’abord, assurons-nous de son décès.” Après un silence, un coup de feu retentit. Le chasseur reprend alors le combiné et demande : “D’accord, et maintenant ?” »
Ce sketch peut ne pas provoquer un fou rire instantané, mais il est fort probable qu’il vous ait arraché un sourire. D’après une recherche, cette blague des chasseurs semble transcender les frontières culturelles. Elle séduit aussi bien les hommes que les femmes, les jeunes que les moins jeunes, dans divers pays. Richard Wiseman, le chercheur à l’origine de cette étude insolite, explique que cette plaisanterie fonctionne car elle nous permet de nous sentir supérieurs au chasseur maladroit. Une intuition déjà exploitée par Les Inconnus en 1991 avec leur sketch culte sur les chasseurs.
